Un nouveau contrat de travail de quatre ans chez Bitumar Inc.

Un nouveau contrat de travail de quatre ans chez Bitumar Inc.

Réunis en assemble générale, hier après-midi, les salariés représentés par le Syndicat des travailleuses et travailleurs de Bitumar-CSN ont adopté dans une proportion de 94 % l’entente de principe concernant le renouvellement de leur convention collective.

Vingt rencontres de négociation ont été nécessaires pour en arriver à cette entente qui prévoit, entre autres, des augmentations salariales de 7 % et un rattrapage de 1 % pour les journaliers, une bonification de la participation de l’employeur de 0,5 % au régime de retraite, l’ensemble des jours fériés travaillés payés à taux double, l’employeur payera également les salariés pour le temps passé à faire les examens pour maintenir les cartes de compétence à jour ainsi que pour une reprise en cas d’échec, la possibilité pour tous les salariés de mettre en banque trois jours de travail et la possibilité de fractionner des semaines de vacances en jours. Quelques autres gains ont également été obtenus concernant leurs conditions de travail. Le tout pour un contrat de travail de quatre ans.

Félicitations au comité de négociation ainsi qu’à tous les membres et longue vie au syndicat !

STT de Pharmetics – Un exemple de ténacité

STT de Pharmetics – Un exemple de ténacité

La négociation fut difficile, mais après un travail acharné de nuit, le Syndicat des travailleuses et travailleurs de Pharmetics (CSN) a obtenu l’entente de principe a été obtenue 10 minutes avant l’assemblée générale du samedi 29 avril.

L’entente comporte des gains sur des clauses normatives mettant ainsi fin à des irritants vécus depuis de longues années par les membres tels que les vacances, l’ancienneté, les mises à pied, les heures supplémentaires obligatoires, les mesures disciplinaires, etc. Plusieurs gains permettent également d’accroître la présence syndicale dans la gestion de l’employeur comme les libérations syndicales, les comités paritaires, l’obligation de l’employeur de transmettre différentes informations, etc.

Quant aux gains monétaires, nous retrouvons :
– Contribution de l’employeur au RÉER obligatoire pour les salariés qui ont une année d’ancienneté au lieu de deux ;
– Augmentation des vacances pour certains groupes ;
– Augmentation des congés sociaux ;
– Prime de signature ;
–  Augmentation : 2 %, 2,5 % et 3 % en plus de la relativité salariale et l’équité salariale qui débutera lors de la première augmentation de 2 %.

L’entente de principe a été acceptée à 93 %, en assemblée générale.

En résumé, ce syndicat est un exemple de ténacité qui n’a pas abandonné son droit de négocier toutes les demandes de ses membres au détriment d’un employeur qui imposait une date pour le résultat avec la menace de faillite ou de fermeture. Les seules concessions du syndicat furent de négocier un blitz de 50 heures consécutives et de faire deux groupes de négociation à l’occasion pour s’assurer de remplir ses obligations envers les membres tout en respectant la date que l’employeur s’est lui-même imposée.

Compte tenu du contexte particulier, tous s’entendent pour dire que la nouvelle convention collective est plus que satisfaisante pour les membres.

Investissement de 5,7 millions $ pour LM Wind Power rendu possible grâce aux salarié-es

Investissement de 5,7 millions $ pour LM Wind Power rendu possible grâce aux salarié-es

La Fédération de l’industrie manufacturière (FIM–CSN) participe aujourd’hui au Forum Innovation Bois, organisé par le ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs, afin d’y défendre les intérêts des travailleurs et des travailleuses de la forêt.

Bien que la FIM–CSN accueille favorablement la tenue d’un tel forum, elle déplore que les représentants des travailleurs et des travailleuses n’aient pas été invités à prendre part aux travaux préparatoires en amont. « Il est important de réfléchir au développement de l’industrie forestière au Québec et c’est pour cela que nous y participons avec enthousiasme. Toutefois, il ne faut pas oublier que cette industrie compte des dizaines de milliers de salarié-es qui devraient aussi avoir leur mot à dire », indique Alain Lampron, président de la FIM–CSN.

La FIM–CSN voit également dans ce forum une excellente occasion de faire la promotion de ses 27 recommandations pour le développement de l’industrie forestière, issues d’une importante consultation tenue en juin dernier auprès de ses membres : « Nous allons profiter de cette occasion pour faire connaître les résultats de notre réflexion. Nous prenons à cœur l’industrie forestière et nous avons longuement travaillé pour dégager des pistes de solution qui, à nos yeux, permettront son développement », ajoute Alain Lampron.

Finalement, la FIM–CSN rappelle que le forum se tient alors que l’industrie du bois d’œuvre est de nouveau menacée par une crise commerciale avec les Américains. La FIM–CSN estime que tous les acteurs de l’industrie sont et seront interpellés afin de limiter les effets d’une nouvelle crise du bois d’œuvre, surtout sur les travailleuses et travailleurs.

Les syndiqué-es de Kronos soutiennent les luttes de l’hôtellerie

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Bien que la FIM–CSN accueille favorablement la tenue d’un tel forum, elle déplore que les représentants des travailleurs et des travailleuses n’aient pas été invités à prendre part aux travaux préparatoires en amont. « Il est important de réfléchir au développement de l’industrie forestière au Québec et c’est pour cela que nous y participons avec enthousiasme. Toutefois, il ne faut pas oublier que cette industrie compte des dizaines de milliers de salarié-es qui devraient aussi avoir leur mot à dire », indique Alain Lampron, président de la FIM–CSN.

La FIM–CSN voit également dans ce forum une excellente occasion de faire la promotion de ses 27 recommandations pour le développement de l’industrie forestière, issues d’une importante consultation tenue en juin dernier auprès de ses membres : « Nous allons profiter de cette occasion pour faire connaître les résultats de notre réflexion. Nous prenons à cœur l’industrie forestière et nous avons longuement travaillé pour dégager des pistes de solution qui, à nos yeux, permettront son développement », ajoute Alain Lampron.

Finalement, la FIM–CSN rappelle que le forum se tient alors que l’industrie du bois d’œuvre est de nouveau menacée par une crise commerciale avec les Américains. La FIM–CSN estime que tous les acteurs de l’industrie sont et seront interpellés afin de limiter les effets d’une nouvelle crise du bois d’œuvre, surtout sur les travailleuses et travailleurs.

Le vent souffle pour LM Wind Power à Gaspé

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La FIM–CSN voit également dans ce forum une excellente occasion de faire la promotion de ses 27 recommandations pour le développement de l’industrie forestière, issues d’une importante consultation tenue en juin dernier auprès de ses membres : « Nous allons profiter de cette occasion pour faire connaître les résultats de notre réflexion. Nous prenons à cœur l’industrie forestière et nous avons longuement travaillé pour dégager des pistes de solution qui, à nos yeux, permettront son développement », ajoute Alain Lampron.

Finalement, la FIM–CSN rappelle que le forum se tient alors que l’industrie du bois d’œuvre est de nouveau menacée par une crise commerciale avec les Américains. La FIM–CSN estime que tous les acteurs de l’industrie sont et seront interpellés afin de limiter les effets d’une nouvelle crise du bois d’œuvre, surtout sur les travailleuses et travailleurs.

Les travailleurs de B.C.H. Unique refusent l’offre patronale

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Bien que la FIM–CSN accueille favorablement la tenue d’un tel forum, elle déplore que les représentants des travailleurs et des travailleuses n’aient pas été invités à prendre part aux travaux préparatoires en amont. « Il est important de réfléchir au développement de l’industrie forestière au Québec et c’est pour cela que nous y participons avec enthousiasme. Toutefois, il ne faut pas oublier que cette industrie compte des dizaines de milliers de salarié-es qui devraient aussi avoir leur mot à dire », indique Alain Lampron, président de la FIM–CSN.

La FIM–CSN voit également dans ce forum une excellente occasion de faire la promotion de ses 27 recommandations pour le développement de l’industrie forestière, issues d’une importante consultation tenue en juin dernier auprès de ses membres : « Nous allons profiter de cette occasion pour faire connaître les résultats de notre réflexion. Nous prenons à cœur l’industrie forestière et nous avons longuement travaillé pour dégager des pistes de solution qui, à nos yeux, permettront son développement », ajoute Alain Lampron.

Finalement, la FIM–CSN rappelle que le forum se tient alors que l’industrie du bois d’œuvre est de nouveau menacée par une crise commerciale avec les Américains. La FIM–CSN estime que tous les acteurs de l’industrie sont et seront interpellés afin de limiter les effets d’une nouvelle crise du bois d’œuvre, surtout sur les travailleuses et travailleurs.